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Nous sommes 6 veinards au parking du lac d’Alfeld (620m) sous un soleil radieux ! Ceux qui étaient venus à l’été 2019 au même endroit se souviennent encore de la rincée mémorable que Dame Nature leur avait alors offerte…

Allez, sans rancune. On démarre un peu avant 9h et en traversant le barrage on constate que le niveau du lac a sérieusement baissé, conséquence de la sécheresse estivale sans doute.

Dès la rive opposée commence immédiatement la raide montée vers la Schaling Hütte, véritable nid d’aigle dominant les environs depuis son promontoire rocheux. Nous faisons un pas de côté pour voir le site de la cascade mais comme on s’y attendait il n’y a pas d’eau.

Arrivés à la cabane nous profiterons un court instant de la vue sur le lac dont la couleur habituellement très sombre a curieusement viré au vert.

La montée se poursuit jusqu’aux ruines d’une ancienne ferme qui, selon une photo d’époque, existait encore en 1926. Les quelques murets encore debout sont mangés par la forêt : on a du mal à imaginer le paysage de l’époque !

A cette intersection nous prenons la direction de l’Oberer Wasserfall dans un décor forestier sauvage. Il fait soif et une petite pause dans une belle clairière au milieu de la bruyère en fleurs est la bienvenue.

Un peu plus haut, au point 1050, nous rejoignons le GR 5 que nous suivons jusqu’au Col de Morteville puis une dernière montée nous amène à la Ronde Tête (1117m) point culminant de la journée.

Une petite douceur et nous voilà repartis sur le sentier de l’Oberalfeld qui rejoint la Chaumière (1083m) en passant sous le Ballon d’Alsace.

Il est 12h45 et c’est l’heure du casse-croûte.

Après la pause, pas le choix, il nous faut descendre par le Trou de la Chaudière pour rejoindre le Boedelen. Et ça va chauffer dans les chaussures !

Cette descente restera dans nos mémoires par sa pente d’environ 41% dans sa première partie, avec un D négatif de 220m en terrain herbeux glissant, caillouteux sur plus de 500m, il n’y a pas de sentier et c’est dur, dur pour les genoux. Finalement on arrivera en bas cahin-caha, sans trop de mal et sans être certains de recommencer l’an prochain ! Et encore moins dans 10 ans !

En suite nous terminons par le sentier classique qui relie Hinteralfeld au lac par la rive gauche et prenons à 15h le pot de l’amitié en extérieur à l’auberge du lac.

Au final le temps de marche effective est de 5h pour 11km et 700m de D+

Merci aux guides pour cette magnifique randonnée.

JB

 
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Rando du 20 août : Neuweiher-Lac des Perches
Derniers jours de canicule, 34 d° annoncés en plaine, nous serons 12 à nous retrouver au départ d’Ermensbach près de Rimbach. Nous cheminons à l’ombre sur le chemin dit de pierres menant aux Neuweihers atteints en une bonne heure. Nous y retrouvons de nombreux randonneurs, l’un d’eux sortant béat d’une petite baignade rafraichissante. Jean-Paul retrouve l’emplacement où avec ses parents il venait camper après avoir marché depuis la gare d’Oberbruck , il avait 8 ans et le souvenir intact ! Nous profitons quelques instants de cet écrin avant d’attaquer la sérieuse montée au Lac des Perches, une succession de lacets et à mi chemin, un superbe champ de bruyères et un point de vue sur le lac du Neuweiher en contre-bas. Nous sortons du bois sur la chaume de la Haute Bers et rejoignons le lac des Perches en petite descente. Dany retrouve lui aussi l’emplacement où les vtm ont planté la tente du temps de leur jeunesse. Jean-Paul nous décrit la trajectoire que nous allons suivre en traversée à mi hauteur du cirque jusqu’au Col des Perches. Quelques passages délicats équipés de mains courantes et un dernier pierrier pentu avant le col des Perches. Il est midi, le plus dur est fait. Quelques hésitations, nous décidons de pousser jusqu’à la Haute Berse et son bel abri au toit végétalisé pour la pause casse-croûte. Nous ne sommes pas les premiers mais arrivons à nous installer à l’ombre. Vue panoramique sur la face ouest du massif du Rossberg et la vallée de Masevaux. Peu après la reprise, nouvel objectif, nous désaltérer sur la terrasse de la ferme auberge Gresson Moyen. Une bonne heure en traversée, en sous-bois par le col des Charbonniers, les gorges sont bien sèches lorsque nous atteignons notre but …notre frustration sera grande, jeudi, jour de fermeture. Nous poursuivons notre descente à travers prés et sous-bois, avec bonne humeur malgré le sentier pentu et empierré et les genoux douloureux. Une dernière pause auprès du torrent, un bain de pied pour certains et enfin une petite terrasse dans le pré derrière la seule auberge du circuit et des anniversaires à honorer, Agnès et Dany. « Happy birthday to you ». Un verre en forme de flûte, de la buée sur les parois et une petite crête de mousse, un moment si particulier. Nous sommes  à 500m de nos voitures, nous aurons parcouru 16 kms et un peu moins de 800m de dénivelé, du sérieux. Belle journée de convivialité. fh

 

 
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Jeudi 6 juillet 2020 : sur le Plateau des Mille étangs (Haute Saône).
Une procession de 10 voitures s’enfile sur les minuscules routes du Plateau à partir de Servance. La météo annonce soleil et chaleur.  « On sera au frais près des nombreux étangs » se disent les 30 VTM qui se pressent autour de Raymond, notre guide et local de surcroît. « Et il n’y a que 190m de dénivelé de prévu !! »précise Francis. Alors, allons-y ! On emprunte de sympathiques chemins qui serpentent en forêt. Chic ! c’est ombragé ! 10h23 : un cri de tous : « Un étang ! enfin ! » Et Claudine de rajouter avec enthousiasme: « je vais les compter ! » Bon courage, pensais-je, car il y en a des tas. « Voilà le petit Arfin ! » »Est-ce qu’ils ont tous des noms ? » demandais-je. « Oui ! » Et voilà un chemin bien bucolique qui tourne avec de part et d’autre des Fougères aigles. C’est unique ! Et c’est l’heure du repas pris au bord …d’un étang évidemment. Tous les participants se disséminent et s’installent par terre. On dirait un tableau de Renoir. Nous repartons vers les Rouillons, lieu privilégié de Sylvie. C’est vrai que c’est un coin superbe ! Nous voyons un panneau : Monthury. Enfin une signalisation ! Et nous voilà dans un sentier étroit à l’extrême avec 2 murs de Fougères de 2m de haut. Typique, vous dis-je ! Nous recherchons l’ombre des arbres du bord de la route. On n’a pratiquement pas rencontré de promeneur. Et Claudine a cessé de compter : « Il y en a de trop ! » Et nous voilà à la maison de Raymond et Hélène, à la Breuche, après avoir parcouru 15.74km et 205 m de dénivelée (tout de même) durant 4h49. Merci à Raymond et Francis. Et toute la troupe se rue sur les boissons fraîches et sur les gâteaux. Quel accueil ! On reviendra ! Merci pour tout, Hélène

Christiane H.

 
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Jeudi 30 juillet 2020 : sur les hauteurs de La Bresse
Ce fut une journée maudite selon les dires de Claude.Voyez-vous-même ! L’aller a permis aux chauffeurs de se livrer à une conduite un peu sportive en montant au col du Bramont. « Un peu seulement » car il y avait des gros travaux sur la route. On est 16 à partir par ce beau temps lumineux. Après 10 min, JPM notre guide s’écrie  « et Sylviane ? On l’a oubliée. Comme elle est toujours en retard, il fallait s’y attendre un jour qu’on parte sans elle. » « Quoi faire ? » « Elle est débrouillarde » Effectivement on entend un coucou à un carrefour 5 min plus haut. Elle arrive fraîche et pimpante. Ouf ! premier incident On poursuit notre montée régulière. On traverse une tourbière sèche dans la Réserve du Ventron et tout d’un coup des cris de panique de 4 dames qui se font piquer par des guêpes. Babette en a tellement qu’elle décide de retourner pour consulter une pharmacienne qui lui conseille de rentrer. La Pôvre ! On continue. On fait du hors piste. On descend une pente raide jonchée de gros blocs. Et vlan ! une chute en avant ! c’est Anne ! une chute impressionnante mais plus de peur que de mal (du moins c’est ce qu’elle dit sur le moment !) Journée maudite, vous dis-je ! (mais ce n’est pas fini ) Nous nous régalons de la vue rafraîchissante du lac de Séchemer. De là on monte au lac des Corbeaux. Il est midi. On avise, on a encore une belle montée devant nous, mieux vaut la faire avant le repas. Allez ! on attaque  vers la Roche du Lac! Les panneaux préviennent que la montée est dangereuse. Ça promet ! Il y a un monde fou sur ce sentier et surtout des enfants. A la Roche du Lac, on poursuit car on sera vraiment dérangé pour manger. On monte vers le Collet Mansuy et on se pose dans une clairière à un carrefour. On se restaure. J-Paul fait des photos et accroche son T-Shirt. Il a un bel accroc. Maudite journée, vous dis-je. On continue sur de beaux chemins en pente douce rafraîchis par un vent léger toujours à l’ombre bienfaisante des arbres car le soleil diffuse une chaleur torride. C’est presque la canicule. Du Col de la Vierge, nous rattrapons les voitures. 16.76km et 811m de dénivelée. Merci J-Paul et Joseline. A la prochaine ! Mais on a soif, très soif. Alors commence une quête interminable d’un bar ouvert dans la vallée. Rien, tout est fermé. On écume toute la vallée. Et on connait tous les restau ! On atterrit enfin en pleine chaleur à Wesserling chez les Créateurs . Quel soulagement ! Mais, (car il y a un Mais !) pas d’alcool délivré en dehors des repas. Pas de tisane de houblon mais des sirops et des hydrolats de plantes ! Maudite journée, vous dis-je ! Allez, à la semaine prochaine quand même ! Christiane H.

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