23 mai au 2 juin2018 : Séjour à Saint Cyr les Lecques(83)
Voilà quelques moments qui resteront gravés dans la mémoire des VTM qui ont participé à ce séjour de randonnées au bord de la Méditerranée. Ils se souviendront des « oh ! » admiratifs devant la Grande Bleue située à 900m du Camping « les Dauphins ». Ils n’oublieront pas les cris d’enthousiasme devant le grand nombre(84) de mobil-homes.  « On était bien dans ces bungalows. » Ils se souviendront de Joël qui commente le paysage sur le plan géologique et géographique et fait le lien avec des faits historiques et religieux. Merci Joël. Ils se remémoreront les noms de fleurs et d’arbustes nommés par Raymonde et André : Asphodèle, Muscari à toupet, salsepareille, Amourette, arbre de Judée , Sérapia et beaucoup d’autres. Ils n’oublieront pas les tours et les détours pour aller au marché de Sanary, puis les tours autour de La Cadière, puis les détours pour rallier le chemin du stade à La Cadière. Bravo aux chauffeurs. Ils méritent une médaille. Ils se souviendront du tirage au sort de nos 4 tables lors du repas du soir au Camping. Les n°1 mangent en premier et les n°4 en dernier. Et chaque soir ,ça change. Ca , c’est la théorie de la jeune femme chargée de gérer 2X4 tables de seniors et une table de travailleurs. Un soir, ceux qui avaient rempli une table sont allés directement au buffet sans attendre le tirage au soir. « Ils étaient affamés !!! »Il y a eu des embouteillages au buffet. La jeune femme s’arrachait les cheveux. Un autre soir, j’avais tiré le n°1. Hourrah ! je pose le papier sur la table et vais chercher du vin. Quand je reviens, je vois le n°2 trôner sur la table. Que s’est-il passé ?Après de nombreuses recherches, je détecte un certain Roger qui a interverti les papiers. Sacré Roger ! et qui vois-je passer devant nous ? Les 13 convives de la table d’à côté persuadés qu’ils sont les n°1. Ah !pire que des gamins ! Les VTM n’oublieront pas la beauté des Calanques de Cassis, les rochers découpés, l’eau couleur d’émeraude, le ciel d’azur, le sentier un peu chaotique. Les VTM covoiturés remercieront chaleureusement les chauffeurs qui les ont véhiculés aux différents points de départ de randonnées. C’est une belle solidarité entre membres d’un même club. Et pour finir, ils auront toujours une pensée émue pour les couples qui sont venus en aide aux 6 VTM qui voyageaient en train et qui n’ont pas pu faire le trajet retour à cause de la grève à la SNCF. Merci pour cette belle solidarité car ils les ont ramenés en Alsace dans leur véhicule. Bref c’était un séjour réussi pour les 50 VTM qui ont pris date du prochain séjour à Gap. Merci aux guides : Claude, Christian, Denise et Suzanne. Le détail des randonnées peut se consulter sur le site :vtmulhouse.fr Christiane H

Dimanche 27 mai 2018 : Port d’Alon
Ce sont 50 VTM qui sont sur le point de départ pour le Port d’Alon à partir du Camping  « les Dauphins »à Saint Cyr les Lecques. Certains (4) feront un petit tour et rejoindront Monique qui est restée à la Guinguette du Portd’Alon. Les autres, une quarantaine, vont faire le sentier du littoral depuis le parking du Port d’Alon . « Vive l’ombre »dis-je car il fait déjà chaud à 9h30 du matin. Le ciel est radieux. Nos pas nous mènent près de l’école Don Bosco . « Voilà une Orchis pyramidale. »s’écrie Raymonde. « Et voilà la rue de l’abbé Dol »dit quelqu’un. Et André Doll d’ajouter : « Mieux vaut celle de l’abbé Doll que la bémol. » « Ha, ha, ha. » On prend plaisir à sentir le jasmin. Nous sommes entourés de belles demeures qui ont vue sur la mer , La Ciotat et le Bec d’Aigle. C’est magnifique. Un petit vent est le bienvenu. « N’oublions pas de boire. » dit quelqu’un. Et voilà la belle crique où nous nous installons pour pique–niquer. Ca vaut un quatre étoiles. Certaines vont se tremper juste les pieds. Juste les pieds ? Non, Agnès tombe à l’eau et mouille tout le bas du corps jusqu’à la taille ,toute habillée. Heureusement qu’il fait chaud et que ça sèche vite. D’autres font un concours de ricochets de cailloux. Heureusement, il n’y a pas eu de blessés. Le soleil se cache derrière les nuages. Le vent souffle légèrement. De ce fait , il fait moins chaud. Notre balade sur le sentier du littoral se poursuit . « Et maintenant ça ne fait plus que descendre. » annonce Denise. Un peu plus tard, une VTM s’écrie : « Mais ça ne fait que monter. » « Je crois que je me suis trompée » avoue Denise. Eh oui, ça monte et sur des gros cailloux en plus. Le sentier est carrément escarpé. Jean-Claude souffle un peu . C’est sa première sortie depuis son opération. Eh bien , il a bien du mérite. Bravo J-Claude. Et nous voilà arrivés à la Guinguette du Port d’Alon. Mais ils ne nous acceptent pas pour boire un coup car nous sommes trop nombreux. Tant pis, on va au village et on se désaltère sur une terrasse. Le GPS a enregistré 9.3km et 234m de dénivelée.
La suite de l’après-midi se poursuit au terrain de boules ou à la piscine ou à ne rien faire au mobile home. Vive les vacances ! Merci à Claude et à Christian, nos guides confirmés.
Lundi 28 mai 2018 ; La Ciotat.
Ce matin, le ciel est couvert , il fait même un peu frais car il a plu. Ainsi on étouffera moins que hier , c’est pas plus mal. Un défilé de 11 voitures se rend à La Ciotat , au parking du port. Et là, il faut se battre avec une machine qui est censée délivrer un ticket . Mais il faut encore s’assurer que la somme a bien été débitée de la carte , sinon contravention, n’est-ce pas Lucien. J’espère que tu trouveras une oreille attentive quand tu leur expliqueras ton cas. Après cette longue manœuvre des 11 chauffeurs, on entame la montée vers Notre-Dame de la Garde . Là haut Joël nous fait un topo historique et géologique sur La Ciotat et environs. Intéressant ! Merci Joël ! Il nous rappelle aussi que les frères Lumière ont tourné le premier film animé à la gare de La Ciotat. Il nous précise que les chantiers navals sont de nouveau réputés pour l’aménagement de yachts de luxe. Il nous décrit la roche qui constitue le Bec de l’Aigle. Elle est constituée d’un très grossier poudingue , roche détritique sensible à l’érosion éolienne. Nous nous rendons ensuite à la calanque de Figuerolle où nous faisons ces constatations. Puis nous poursuivons vers le Parc Mugel , ce qui nous amène à passer devant les jardins de belles propriétés et à photographier les fleurs du rince-bouteille ou goupillon ou écouvillon. Bref , une belle fleur rouge ou blanche . Nous photographions également les fleurs de l’Acanthe. Au parc, nous trouvons qui des bancs ,qui des murets pour casser la croûte , le tout égayé par les doux «  cris » des enfants. Puis nous montons au Belvédère pour voir le Bec de l’Aigle depuis le haut . En montant les nombreuses marches, plus ou moins inégales, nous avons eu une pensée émue pour les très nombreuses marches du pays de St Jean Cap Ferrat. On les regrette presque. Heureusement il faisait moins chaud en octobre . Là-haut on avait vue sur l’Ile Verte, pas si verte que ça. On a photographié le mimosa des 4 saisons. IL recommençait à fleurir. Arrivé au port, le chef nous donne quartier libre. OK, La Ciotat est à nous. « D’abord un café !» réclame mes 3 copines. Le plus dur était de trouver un établissement qui était encore ouvert car il est déjà 14h. Le soleil pointe son nez et nous réchauffe un peu . Et l’après-midi se termine à 18h par l’apéro des Golfeurs. Vive les golfeurs. La balade était longue de 9 km et la dénivelée était de 200m.Merci les guides.
Mardi 29 mai 2018 : au-dessus de Six-Fours au Mont Salvat.
« Nous sommes au parking de la Gardiole. »dit Robert, notre chauffeur. « C’est bizarre. IL n’y a personne. Attendons. » 10 minutes plus tard. « Toujours rien. J’appelle Claude. « Il faut continuer plus loin dans le chemin de Le Lecque. « Ah !bon d’accord. On arrive. »Vive le téléphone. Et nous voilà partis pour la chapelle de Notre-Dame du Mai. Le petit groupe des non-marcheurs y va en voiture pour prendre le pique-nique avec nous. Le sentier est étroit , bordé de plantes plus ou moins piquantes . Les arbres sont bas. Il faut baisser la tête. Les férus de botanique nomment les fleurs : Asphodèle, Muscari à plumet et beaucoup d’autres. Joël nous commente le paysage et nous rappelle les grandes lignes de ce phénomène où la plaque africaine plonge sous la plaque eurasienne. Ce phénomène porte un joli nom : c’est la …Subduction. Ce qui explique que le Cap Sicié se situe en hauteur à 350m. Nous avons aussi constaté que la roche du sentier a changé . Ce sont maintenant des Micaschistes avec des veines de quartz très dures. C’est une roche métamorphique, très dure et très résistante, ce qui explique que la côte soit si découpée. De là –haut nous avons vue sur le Mont Salvat. Et nous voilà arrivés à la chapelle de N-Dame du Mai :altitude 358m. Après nous être sustentés, nous entamons la descente qui est un peu périlleuse quelque fois. Il faut des grandes jambes. Ca aide. Mais Claude s’écrie ; « il manque une bonne dizaine . Où sont-ils ?» Il manque Christian qui est en tête de la marche. Ils étaient devant et n’ont pas entendu que quelqu’un a demandé de rebrousser chemin pour faire une photo de groupe. Ce qui a entraîné un intervalle assez grand entre les deux groupes. « Allo, Christian, où êtes-vous ? » appelle Suzanne. « A la barrière du bas, on est 14 et on vous attend. »répond Christian. Une fois de plus, merci le téléphone. Ca y est, on arrive ensemble aux voitures. On a fait 11km et 400m de dénivelé. Belle journée dans le maquis. Merci les guides.
Mercredi 30 mai 2018 :La Cadière d’Azur.
Aujourd’hui on commence à visiter le marché de Sanary, il est très réputé. Première épreuve : trouver une place de parking après avoir cherché où se situait le marché. Dur, dur, enfin on y est. Il y a déjà foule à 10h du matin . « Et on n’est pas en saison estivale. »Les consignes nous parviennent : rendez-vous pour partir à la Cadière d’Azur à 11h ¼.Le plus dur, c ‘était de trouver la sortie de Sanary, direction Bandol . Puis, arrivé à la Cadière, de trouver le parking. Heureusement que Christian nous téléphone et nous précise qu’il est situé au chemin du stade. On rentre l’adresse dans le GPS et il nous mène au but. Le retard est conséquent. Heureusement que les copains nous ont attendus. Ouf ! Encore merci au téléphone car on y tournerait encore maintenant. « On y va. » Balade dans la garrigue et pique-nique sur une falaise abrupte devant un panorama de toute beauté . Nous avons vue sur les alentours car nous sommes en hauteur. Vue sur les villages alentours, l’habitat dispersé, les collines et le massif de la Saint Baume. Le ciel couvert depuis le matin libère trois gouttes et c’est tout. Un peu plus loin, nous avons vue sur La Ciotat et sa baie. Nous randonnons sur le plateau et admirons les carrés de vignes donnant le fameux rosé de Bandol. Les cyprès sont effilés comme des statues dressées. Puis nous retournons au village de La Cadière d’Azur où nous prenons un pot bien sympathique. « Et maintenant vous avez quartier libre. Rendez-vous à 18h, à la dégustation de vins de Bandol »En chemin , nous avons admiré un Arbre de Judée en fruits. Ce fut une journée cool. Le GPS a affiché 5km et 100m de dénivelée. Merci les guides.

Jeudi 31 mai 2018 :la Sainte Baume.
Il y a de la brume sur les crêtes au-dessus de la Saint Baume. Les nuages sont aussi au rendez-vous. Mais on gravit le sentier qui monte à la sainte Baume avec conviction car, au moins, on n’aura pas trop chaud. Pire, un gros nuage noir se profile à l’horizon. Viendra, viendra pas sur nous ? bientôt ou pas du tout ? A la grotte, la cloche sonne pour inviter à l’office . La messe est commencée quand nous parvenons au sanctuaire. Nous suivons l’office en attendant de voir si l’orage éclate ou pas. Effectivement le tonnerre gronde et l’éclair luit. On reste à l’abri. Mais pas de pluie. A la fin de l’office, nous prenons place à l’Abri du Pèlerin pour casse-croûter. A la fin du repas, nous avisons : un groupe redescend directement, un deuxième groupe monte au Col du Pilon et à la Chapelle de la Sainte Baume, un troisième groupe fait la balade prévue en montant sur les crêtes avec un passage périlleux où il faut escalader. Comme il ne pleut plus, ils peuvent essayer. A tout-à-l’heure ! Le 2ème groupe monte à la Chapelle et admire la vue à 360° . Magnifique ! Le 3ème groupe a trouvé des rochers déjà secs près du sommet. Ouf ! ils n’ont pas glissé. Ils sont ravis de l’avoir fait. Tous se retrouvent au bar de l’Hostellerie , contents. Chacun d’évoquer la spécificité de cette forêt mélangée, une hêtraie – chênaie, qui diffère complètement d’une forêt méditerranéenne car elle est située au Nord de la falaise et est donc très arrosée. C’est une forêt de feuillus que nous connaissons dans l’Est et qui est la plus méridionale. De plus elle a été protégée depuis 1299 par le Pape Boniface ainsi que par tous les monarques de France, d’où l’allée des Roys que nous avons empruntée. Le groupe des non-marcheurs a fait les boutiques du Castellet . Puis ils ont visité la Chapelle du Bausset et ont été ravis par un concert, juste pour eux, d’ une cantatrice qui les a enchantés. L’après-midi, ils ont visité les gorges d’Ollioule. A 18h, c’était le tour des non-golfeurs de payer le pot. C’était bien sympathique. Merci les guides : distance 10km et 400m de dénivelée.
Vendredi 1 juin 2018 : Les calanques de Cassis.
Hello, le soleil brille, brille, brille, Hello, le ciel est bleu, bleu, bleu. C’est le dernier jour et la météo nous est favorable pour faire les Calanques de Cassis. Nous nous rendons à Cassis. Il fera chaud. Effectivement le soleil darde ses rayons sur la roche calcaire bien blanche qui réverbère la chaleur. Nous arrivons à la Calanque de Port Miou . « Au fait, qu’est-ce qu’une Calanque ? » Joël répond : « C’est une vallée ennoyée. » et Joël de faire un topo sur les calanques. Merci Joël ! La balade se poursuit vers la Calanque de Port Pin . Les baigneurs sont déjà en place. La balade se poursuit et nous remontons en hauteur. De là-haut, nous avons vue sur le Doigt de Dieu dressé vers le Ciel. De temps en temps , le vent nous susurre aux oreilles et nous rafraîchit. On apprécie. Lorsque nous sommes au-dessus de la Calanque de d’En-Vau, André Doll s’exclame : « Ca en vaut ..la peine ! » Rires. Le pique-nique a été apprécié et c’est déjà le retour. Baignade dans la Calanque. En guise de conclusion, Claude se confie : « Aujourd’hui vous avez vu les Calanques . C’est bien le feu d’artifice des 6 séjours dans le Sud de la France. »C’était effectivement extra-ordinaire. Nous acquiesçons et applaudissons nos guides. La balade était longue de 10 km et la dénivelée était de 300m. Christiane H.

 

Jeudi 12 avril 2018 : Malsaucy/Salbert

Nous nous rendons à la base de Malsaucy par un beau ciel lumineux parsemé de quelques nuages du matin. Nous sommes nombreux : 17 à marcher dans les pas de Dany et de Babette. Nous nous dirigeons vers le fort du Salbert qui se dresse au loin. Le vent se lève. On se couvre. La rando se poursuit entre prés et bocages. Arrivés au pied de la colline, nos guides nous annoncent une belle montée. « Allez ! on y va ! on serre les dents » mais finalement cette montée était correcte : presque une heure de montée (quand même) et 255m de dénivelée. La récompense : c’est une vue à 360° illustrée par 3 tables d’orientation. Magnifique !  Le soleil est radieux. Le ciel est bleu et illumine notre pique-nique  pris dans l’aire spécialement aménagée. Excellent ! L’appétit est au rendez-vous. Le début de la descente est bien pentu. Nous passons près de la Vierge du Salbert érigée parce que la vallée a été épargnée pendant les 3 guerres. Nos pas nous mènent de prés où paissent de belles vaches Montbéliardes en villages bucoliques. De retour au lac de Malsaucy, Babette s’informe auprès du restaurateur de l’Auberge du Lac si nous pourrons venir nous désaltérer après le tour du lac. Il acquiesce. Tout le monde pousse un soupir de soulagement. Sur le tour, nous nous arrêtons à la Maison de l’Environnement. Intéressante ! Nous nous penchons sur les panneaux d’information du tour du Lac. Voilà ! après la rando, une touche de culture ! Ca ne peut pas faire de mal ! Et c’est autour de la mousse que tout le groupe savoure ses boissons. Les 17 km ont été parcourus avec plaisir ainsi que les 300m de dénivelée. C’était une bonne mise en jambes, une rando d’entrée de saison. Merci Dany et Babette. A la prochaine.                                                                    Christiane Huber 

6 février, intéressante soirée de projection photos

Plus de 40 membres ont assisté à Pfastatt à la soirée de projection, qui a été variée, complète et intéressante. Les différentes activités de l'année 2017 ont été présentées par les responsables respectifs, chacun dans son style et sa technique. Pépi Baldeck a ouvert le bal par un montage, musique à l'appui, des 5 sorties ski de fond qui ont pu se dérouler grâce à un programme souple s'adaptant à l'enneigement. On a ainsi vu des paysages souvent féériques, principalement en Forêt Noire. Francis Hochdoerffer a ensuite résumé les 7 sorties raquettes du jeudi dans les Vosges, dont la moitié s'est faite à pied faute de neige, quelquefois dans des conditions météo difficiles, mais d'autres fois au grand soleil. Il a également montré les talents de cuisiniers et de serveurs de "l'équipe soupe" qui a accueilli pas moins de 310 randonneurs en 6 jours d'ouverture de notre refuge les mercredis et jeudis. Puis André Doll a présenté la quinzaine de balades hivernales du jeudi après-midi, qui ont toutes eu lieu, souvent par beau temps. Il a également montré quelques activités des skieurs alpins ainsi que la vie au refuge. Jean-Pierre Zimmerlin a relaté avec humour les sorties dominicales d'été, à pied ou en vélo, ainsi que les sorties-nature, les sorties des anciens et les activités du sport en salle. De son côté, Albert Winling a plaisamment résumé par de petites vidéos quelques-unes des 13 randonnées d'été du jeudi. Enfin Claude Siegel a commenté les photos du très beau et très réussi séjour de 50 VTM à Saint Jean Cap Ferrat en octobre dernier. Pour terminer, Gilles Nodot et Jean Greiner nous ont rempli les mirettes avec d'exceptionnelles photos d'oiseaux de chez nous et d'ours en Slovénie.
Ce fut souvent un régal pour les yeux, et on n'a pas vu l'heure tourner tant les activités sont nombreuses et variées. Grand merci à tous les présentateurs et photographes qui ont permis cette intéressante rétrospective. Grand merci aussi à tous ceux qui ont garni de pâtisseries le pot de l'amitié qui a clos la soirée, et qui s'est prolongé jusqu'à fort tard tant les participants étaient heureux d'être ensemble. ad

1er février : raquettes 4 Secteur Markstein

Bourrasques de vent et chutes de neige dans la nuit du mercredi mais un premier signe, jeudi matin,  le vent est tombé, un second, il y a neigé au moins une quinzaine de cm au lac de la Lauch où nous sommes 13 à nous retrouver. La p’tite Claudine n’y tient plus et chausse en sortant de la voiture… sur le bitume, difficile de la raisonner ! Nous démarrons, raquettes sur le sac par le sentier raide en direction de l’Oberlauchen, mais très rapidement nous chaussons car la couche de neige est plus épaisse que prévu. Une première pause regroupement en arrivant sur le chemin de l’Oberlauchen, le job de traceur est confié à l’ami Christian qui file plutôt direct en direction du col de l’Oberlauchen. Là, nous nous scindons momentanément en 2 groupes pour traverser la forêt en direction du Breitfirst, l’un en légère montée empruntant le tracé suivant la ligne de crête à travers petites congères, l’autre filant plus à plat en direction de la côte 1248 que nous appelons col de Salzbach où nous nous retrouvons. A remarquer la fin du  traçage du parcours de fond effectué depuis le Platzerwaesel et non relayé par le service de traçage du Markstein !! Le cheminement à travers 30 à 40 cm de fraiche ralentit la troupe. Nous dépassons le Breitfirst, piquons plein sud vers le Steinlebach, en descente cette fois. Le paysage est hivernal, arbres givrés avec des tons blancs et grisés, toujours le même bonheur ressenti. Nos 2 têtes de pont Christian et François assurent le tracé à mi-pente pour traverser la fédérale, ce qui nécessite de la prudence. Il est 13h et les pistes ne sont pas encombrées, à peine 2 ou 3 skieurs croisés. La fatigue commence à se faire sentir lorsque nous rejoignons le chalet, notre chalet. Et là, un indice, deux traces de ski menant à  l’entrée et suivi d’un deuxième, la porte n’est pas fermée à clé. Nous sommes donc attendus…heureuse surprise, Mireille et Pépi nous ont préparé le feu et fait chauffer la soupe, bien sympa les amis. Nous trainons un bon moment, faisons circuler les douceurs de fin de repas et prenons une dernière photo de groupe avant de rentrer par le chemin direct nous menant au lac de la Lauch par l’invisible chalet Belle Vue. Rob sera le dernier à quitter ses raquettes au bout de la digue. Enfin une belle journée de raquettes, amplement méritée, petite pensée pour les absents du jour. Un peu plus de 400m de D+ - fh

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